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Si tu es kenshi et que tu as un peu le goût de la compétition, tu sais bien que ces dernières années, à Pâques, tu devras peut-être troquer les cloches, les lapins et les oeufs contre un shiai-jo et quelques bleus.

 L’HUK était donc de retour à Orléans pour l’édition annuelle de la compétition nationale, l’équipe 1 s’étant qualifiée en remportant les championnats du Grand Est, tandis que Thomas Rocton s’alignait en individuel après sa deuxième place régionale. 

C’est lui qui ouvre les hostilités le dimanche dans une poule serrée dont il ne parvient pas à se sortir. Malgré un coaching de luxe de Kevin Unfricht, le messin s’incline lors d’un premier combat perdu d’un ippon suivi d’un nul  concédé dans les dernières secondes après avoir mené pendant la majeure partie du shiai. L’expérience c’est pas donné, et si je connaissais le bonhomme, je pourrais te dire qu’il n’a qu’une envie c’est de la réitérer.

C’est un scénario similaire et tout aussi frustrant qui attend l’équipe 1 le lendemain. Kevin Unfricht, Niclas Jay, Satoko Goto, Simon Tourdot et Arnaud Lebraud buttent d’abord 3 à 2 sur une équipe de meldois (de Meaux donc, n’y vois pas une blague de vestiaire) à sa portée, avant de tomber sur un bel os tourangeau qui lui inflige 3 à 1. 

Comme quoi, à Orléans, on a beau ne pas être puceau en matière compétition, l’issue des combats se joue souvent à peu de choses. Comme le répète notre professeur (et arbitre lors de l’évènement) « tu perds t’apprends, tu gagnes t’apprends ». Au club désormais de se remonter les manches pour s’offrir une nouvelle occasion d’apprendre en 2026. 

 


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